Les actualités de Chaussettes Orphelines — Mode responsable

Chaussettes Orphelines débarque sur Ulule le 15 octobre !
Le 15 Octobre, Chaussettes Orphelines lance une toute nouvelle collection de chaussettes en prévente. Cette collection sera assortie d’un nouveau concept : le timbre retour pour nous renvoyer gratuitement vos chaussettes à recycler
Chaussettes Orphelines et les 17 Objectifs de développement durable
Il y a 4 ans, les états membres de l’ONU ont adopté 17 Objectifs de Développement Durable (17 ODD) afin de définir la marche à suivre pour proposer un avenir meilleur et plus durable à tous. Chez Chaussettes Orphelines, nous avons dans nos valeurs un engagement fort dans le développement durable. Pas seulement pour nos produits mais aussi pour ceux qui nous entourent. C’est ainsi que nous avons regardé de plus près les 17 Objectifs de développement durable afin d’analyser ce que nous faisions pour chacun d’entre eux.

Quelles sont les 7 possibilités de recyclage pour vos vêtements usagés ?
Le recyclage textile s'organise tout autour de la planète, petit à petit des solutions apparaissent pour que cette richesse ne soit pas perdue et pour préserver un peu plus notre environnement
Chaussettes Orphelines : La super championne de l'Économie circulaire
Savez-vous ce que l’économie circulaire peut apporter à l'industrie textile ? pourquoi est-ce la solution pour préserver nos ressources, notre planète, limiter le changement climatique ? Et comment est-elle déjà à l’œuvre dans le secteur du textile ?
Bilan écologique déplorable pour l'industrie de la mode et du textile
Aujourd’hui, l’industrie textile est la deuxième industrie la plus polluante au monde. La mode produite en masse en Asie à de très nombreuses conséquences sur l’environnement.
Galeries Lafayette nous a choisi pour représenter la mode éthique
Pour leur opération Go for Good, les Galeries Lafayette ont adopté une démarche de sélection d'entreprises partenaires qui répondent au moins à un des critères suivant : amélioration environnementale, sociale, ou production locale, et pour mettre en lumière des initiatives de marques en faveur de modes de production ou de consommation plus responsables.
Mode et mondialisation : les 6 meilleures raisons pour consommer local
En réaction à la catastrophe du Rana Plaza au Bangladesh qui a fait un millier de morts en 2013, de plus en plus de personnes souhaitent acquérir des vêtements issus de fabrication éthique et française. Chaussettes orphelines est depuis toujours une marque de mode éthique, 100% Made in France, 100% économie circulaire, sociale et solidaire.

La mode éthique et responsable : Le concept de Chaussettes Orphelines
Dans le cas de la mode circulaire on cherche à donner une deuxième vie aux vêtements en les recyclant ou en les transformant, mais également par exemple en valorisant les déchets issus de la production comme les chutes de textile. Consommer moins, et consommer mieux : des pièces de meilleure qualité, qui résistent plus facilement au temps et qu’on aura plus de mal à jeter sont des pièces qui ont beaucoup plus de sens ! De même des vêtements fabriqués localement auront tendance à être plus résistants. Le made in France, qui en plus créé des emplois en France et y relance les filières du
textile, est donc aussi une bonne alternative !
Changer – même légèrement – nos habitudes peut avoir un
grand impact sur notre environnement.

Contrairement aux idées reçues la mode éthique n’est pas plus chère
L’intérêt pour la mode éthique et responsable est grandissant. Nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir adopter une manière de consommer plus durable et plus respectueuse de l’environnement. Cependant, on remarque très rapidement que les vêtements de la mode éthique affichent des prix souvent plus élevés que ceux que l'on retrouve dans les grandes enseignes.
Pourquoi cette différence ?
Nous allons essayer de vous expliquer pourquoi la mode éthique au delà de l'étiquette n’est finalement pas si chère.
Il existe des coûts cachés derrières vos vêtements à bas prix
Lorsque l’on consomme des vêtements à petit prix, comme ceux que l’on retrouve chez les grands distributeurs de la mode, on oublie souvent le réel prix qui se cache derrière : le coût écologique + le coût social.
On oublie à travers ces prix l’ensemble des impacts environnementaux de la consommation de cette mode aussi appelée la Fast-Fashion :
- Production de coton très gourmand en eau,
- utilisation de pesticides interdit en Europe par les agriculteurs pauvres sans protection,
- fabrication de matières synthétiques dont les particules se retrouvent dans les organismes des animaux marins,
- teintures toxiques polluant les rivières,
- émission de CO2 des transports qui font faire plusieurs fois le tour du globe à nos vêtements...
Nous voyons tous les jours dans les médias les conséquences de cette contribution très négative au changement climatique.
Derrière ces prix se cachent aussi des drames sociaux avec des hommes mais plus souvent des femmes et parfois même des enfants obligés de travailler dans des conditions violant leurs droits fondamentaux. Leurs salaires sont bien souvent inférieurs au minimum vital. Sans compter toutes les maladies développées par ces ouvriers en contact direct avec les particules toxiques des pesticides et des teintures.
Toutes ces conséquences environnementales et sociétales ne sont pas intégrées dans le prix de ces vêtements :
Par exemple pour un Jean vendu 18 € chez Primark
Le coût réel moyen sera le suivant :
- 8000 litres d'eau pour faire pousser le coton pour un seul jean
- 1 litre de pesticide toxique interdit en Europe
- 2 kilos d'engrais chimique
- 2,5 € pour la journée d'un agriculteur pauvre avec toute sa famille (pour la plantation, le traitement chimique, et la récolte)
- quelques litres de teinture toxique rejeté dans les rivières sans filtrage
- 2,5 € pour la journée de la jeune fille qui fait la teinture sans protection
- 2,5 € la journée de 9h ou 10h pour la femme qui fabrique le Jean (découpe, couture, emballage...)
- des milliers de litre de Fioul pour le porte conteneur qui parcours plus de 18 000 km depuis la Chine.
- Le prix bas pousse à la surconsommation et votre visite chez Primark vous laissera une addition d'environ 60 euros en moyenne car vous aurez acheté en plus 2 tee shirts et d'autres choses dont vous n'aviez pas vraiment besoin.
- De plus la faible qualité des petits prix entraîne souvent des coutures mal finies qui vont craquer rapidement, vous obligeant à racheter avec une fréquence très importante ces vêtements peu cher qui ne durent pas.
Finalement, lorsque l’on achète un vêtement qui a été fabriqué localement via un processus respectueux d'un juste salaire pour la personne qui travaille et respectueux de l’environnement il est normal de voir un prix à la hausse.
C’est le coût d’une consommation de qualité plus viable, plus durable pour notre planète et plus respectueuse des hommes et des femmes de la filière textile qui nous habillent. Pour développer une mode éthique nous sommes convaincus qu’il est nécessaire aujourd’hui de consommer moins et mieux, c’est à dire local.
Le textile Français : plus écologique, plus social, donc moins cher pour la planète
En France nous avions une très belle industrie du textile il y a quelques années, notamment dans le Nord et dans les Vosges ainsi qu’un excellent savoir-faire en couture, en dentelles et en tricot. Après une longue période de désinvestissement, cette industrie semble aujourd’hui vouloir se développer à nouveau en France. Les exportations de l’industrie textile française ont légèrement progressé en 2016 (8,8 milliards d'euros) tandis que les importations sont restées stables (16 milliards).
L’industrie textile en France représente encore environ 2 400 entreprises fabriquant des fils, des tissus et des textiles destinées à l’habillement, à l’ameublement ou à un usage technique.
Le nombre d’emplois s’est stabilisé avec presque 60 000 emplois salariés. Il y en avait 10 fois plus à la belle époque. Nous sommes le deuxième pays européen producteur de textiles techniques ou instrumentés, après l’Allemagne. Et la recherche sur les produits innovants est très active.
Chez Chaussettes Orphelines, nous participons à cette recherche en travaillant sur notre fil 100% recyclé. Entourée d’ingénieurs et de filateurs français, Marcia de Carvalho a permis en trois ans de créer ce nouveau fils. Elle a reçu le 1er Prix de l’innovation de la Ville de Paris en décembre 2017.
Marcia de Carvalho - notre créatrice - à la soirée de remise de Prix de l’Innovation à l’Hôtel de Ville de Paris le 13 décembre 2017
De plus, en évitant les déchets textiles avec le recyclage des chaussettes (ces petites pièces sont encore majoritairement jetées) Chaussettes Orphelines contribue à la préservation des ressources et limite le gaspillage. En organisant des collectes dans les entreprises et les écoles, elle participe à l’éducation et à la sensibilisation de nombreux publics.
Outre son engagement pour la protection de l’environnement, Chaussettes Orphelines est localisée à Paris, dans le quartier de la Goutte d’Or et fait travailler des ateliers du quartier mais aussi valorise des industriels français pour la transformation des chaussettes collectées en nouveau fil, pour le tricotage et pour la fabrication de ses accessoires et de ses vêtements.
C’est une véritable marque de mode éthique, 100% Made in France, 100% économie circulaire, sociale et solidaire !
Pour en savoir plus sur la mode éthique, sur les travers de la mode et les solutions de mode éthique pour consommer mieux, vous pouvez télécharger gratuitement cet eBook complet en cliquant sur le bouton ci-dessous :
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"Made in China” quels sont les travers de la mondialisation de la mode
Il est aujourd’hui bien connu que la plupart des vêtements que l’on achète ont été fabriqué à l’autre bout du monde. Mais savez-vous quelles sont les réelles conséquences de cette mondialisation de la mode ?
Le Rana Plaza, ou quand la misère de la mode est révélée au grand jour
Cela fait quelques années maintenant que nous en savons un peu plus sur les conditions de travail des gens qui fabriquent nos vêtements. Malgré cela, « Made in China » ou encore « Made in Bangladesh » sont des mentions que l’on retrouve très souvent sur les étiquettes et qui sont désormais banalisées dans nos esprits.
Un évènement a cependant marqué les esprits dans l’histoire de la mode moderne. Il a remis sous les projecteurs du monde entier la situation alarmante des fabricants de textile à bas prix : il s’agit de la tragédie du Rana Plaza.
Situé à Dacca, capitale du Bangladesh, le Rana Plaza était une tour qui abritait les employés d’entreprises de sous-traitance, c’est-à-dire des entreprises qui se chargent de la production à bas coût de la majorité des grandes enseignes de l’habillage. Cette tour, dont les 5 derniers étages avaient été construits sans permis, abritait plusieurs ateliers de textile et près de 5000 employés.
En 2013, des employés signalent un jour à leurs responsables la présence de fissures sur les murs. Pour maintenir les cadences de production, ces-derniers refusent d’évacuer le bâtiment et somment les employés de continuer leur travail. La tour s’effondre dans la journée, entraînant la mort de plus d’un millier de personnes. Cette tragédie révèle la précarité de la situation des sous-traitants dans ces pays lointains mais surtout l’implication de grandes enseignes de la mode dont les étiquettes ont été retrouvées sous les décombres.
Une industrie qui remet peu à peu en question la mondialisation de la mode
Des mesures ont certes été prises. Des lois ont été promulguées, notamment sur le devoir de vigilance. Cette loi oblige depuis cette année les grandes entreprises (plus de 5.000 employés en France, ou 10.000 salariés si le siège social est à l'étranger) à recenser tous les risques sociaux et environnementaux encourus par elles comme par leurs sous-traitants. L'objectif de cette loi est de mieux connaître les chaînes de production ou de s'interroger sur les effets de telle ou telle décision d'investissement.
Les grandes enseignes doivent donc être plus attentives à la sécurité et au bien-être des travailleurs, qu’ils soient leurs propres salariés ou les salariés de leurs sous-traitants, même lointains. Mais ces dernières demeurent encore peu transparentes sur leurs circuits de fabrication textile, alléguant de la difficulté de contrôle car leur chaîne de production est parfois très complexe.
Des efforts sont donc encore nécessaires et il est très important pour nous, les acheteurs, d’être attentifs à comment a été fabriqué ce que nous achetons et surtout à quel coût.
Hashtag et réseaux sociaux, les mouvements pour continuer à sensibiliser
Le mouvement Who Made My Clothes est porteur de ce message. Chaque année autour du 24 avril, date anniversaire de l’effondrement, le monde de la mode responsable organise des événements, conférences et autres animations participatives : c’est la semaine de la Fashion Revolution. Le phénomène touche aujourd’hui plus de 100 pays, et des millions de personnes se mobilisent sur les réseaux sociaux avec des photos ou des vidéos posant la question Who made my clothes / Qui fait mes vêtements ?
Chaussettes Orphelines - Marcia de Carvalho est une marque de mode éthique localisée à Paris, dans le quartier de la Goutte d’Or qui fait travailler des ateliers du quartier et de Paris mais aussi des industriels français pour le recyclage des vieilles chaussettes collectées en nouveau fil, qui servira au tricotage de nouveaux accessoires et de nouveaux vêtements.
Produire en France c’est privilégier le circuit court
Contrairement au " Made in China " produire en France c'est limiter notre bilan carbone dû au transport mais c’est aussi s’assurer que nos “petites-mains” ont été justement rémunérées et ce pour vous proposer des produits de qualité certaine. C’est une véritable marque de mode 100% Made in France, 100% économie circulaire, sociale et solidaire !
Faites comme nous, vous aussi participez à cette initiative collective qui fait bouger la mode avec le #whomademychothes. Et privilégiez vos achats avec du Made in France.
Si vous souhaitez tout savoir sur les vrais travers de la mode d'aujourd'hui, nous vous offrons gratuitement un ebook complet sur ce sujet, cliquez sur le bouton ci-dessous pour en apprendre davantage sur les dessous de la mondialisation :
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